1
Il y a urgence pour instaurer un modèle d’organisation humaine plus efficient et plus vertueux. Une part importante de l’humanité n’est ni satisfaite ni heureuse du modèle en place. Elle est prête à faire son nécessaire et son possible pour participer au changement.
2
Les grands changements dans l’histoire de l’humanité ont toujours été précédés d’un changement dans la manière d’expliquer la réalité et d’envisager les possibles.
Le changement ne peut pas seulement être individuel mais avant tout systémique.
2b
La peur et le contrôle ont été une solution biologique et organisationnelle de survie efficace à un moment donné de l’histoire de l’humanité ; ils ne sont ni une obligation, ni une fatalité ;
Compte tenu de l’augmentation exponentielle de la complexité de l’organisation du monde, engendrée par la mondialisation et le digital, ces modèles sont désormais obsolètes pour assurer la perpétuation de l’espèce humaine dans de bonnes conditions.
3
La première violence est institutionnelle. C’est d’abord l’organisation qui fait l’homme et non l’inverse. Personne n’est en mesure d’imaginer ce que l’humanité peut d’ores et déjà se révéler être, dégagée de cette violence originelle
4
Les organisations humaines sont des êtres vivants. A travers leurs activités et leurs valeurs, elles sont porteuses, chacune à leurs niveaux, d’un modèle philosophique et social.
Les organisations ne sont pas constituées seulement d’actionnaires et de salariés mais leur véritable valeur, leur succès et leur pouvoir dépendent avant tout de la confiance que les utilisateurs leur accordent.
4b
Les modèles philosophiques et sociaux portés par chaque organisation ont vertus à coexister naturellement dans l’avenir (ils le font déjà en réalité). Il n’est pas nécessaire de changer le modèle dominant en place, il suffit d’en créer un nouveau ;
C’est le nombre qui possède le véritable pouvoir sur les organisations, par la confiance qu’il leurs accorde, et non l’inverse.
4ter
La jeunesse est belle et engagée. Elle possède la conscience nécessaire. Elle représente un pourcentage suffisant pour réaliser la bascule.
A partir du moment où elle prend conscience de son nombre, qu’elle s’interconnecte et s’unit pour faire communauté, elle peut tout à fait peser instantanément sur la diplomatie mondiale. Elle possède tous les outils technologiques et organisationnels pour le faire.
5
Une organisation humaine basée sur des modèles philosophiques et opérationnels transparents, qu’elle s’engage à incarner et sur lesquels elle accepte de rendre des comptes, permet d’instaurer cette confiance dans le temps.
L’interconnexion de ces organisations selon des principes biomimétiques est à même de mobiliser la force d’action actuelle de l’humanité et d’incarner maintenant un changement radical et maitrisé.
5bis
La terre possède les ressources nécessaires et suffisantes pour satisfaire les besoins fondamentaux de l’ensemble des êtres vivants. A chaque problème existe une solution locale à condition que le système global soit sain ;
La gentillesse, l’honnêteté intellectuelle, la gratitude, l’autonomie, la confiance et l’éducation déployées dès le plus jeune âge sont le moyen le plus sûr de faire émerger ce système sain et efficient ;
La paix est un droit. Elle ne pourra pas émerger à l’intérieur des modèles de prédation et de manipulation actuels, Elle ne pourra être une réalité universelle que par la prise de conscience de l’interdépendance de tout et de tous (terre, humains et toutes espèces vivantes) et par son instauration, en tant que droit inaliénable, au cœur du nouveau système
1
Le modèle basé sur le contrôle est à l'air de la mondialisation obsolète
- La peur et le contrôle ont été une solution biologique et organisationnelle de survie efficace à un moment donné de l’histoire de l’humanité ; ils ne sont ni une obligation, ni une fatalité
- Compte tenu de l’augmentation exponentielle de la complexité de l’organisation du monde, engendrée par la mondialisation et le digital, ces modèles sont désormais obsolètes pour assurer la perpétuation de l’espèce humaine dans de bonnes conditions.
2
Dégager l'humanité de la violence institutionnelle
- La première violence est institutionnelle.
- C’est d’abord l’organisation qui fait l’homme et non l’inverse.
- Personne n’est en mesure d’imaginer ce que l’humanité peut d’ores et déjà se révéler être, dégagée de cette violence originelle.
3
Créer un nouveau modèle basé sur la confiance
- Les modèles philosophiques et sociaux portés par chaque organisation ont vertus à coexister naturellement dans l’avenir (ils le font déjà en réalité). Il n’est pas nécessaire de changer le modèle dominant en place, il suffit d’en créer un nouveau.
- C’est le nombre qui possède le véritable pouvoir sur les organisations, par la confiance qu’il leurs accorde, et non l’inverse.
4
La jeunesse unie et interconnectée comme pionnière du changement
- La jeunesse est belle et engagée. Elle possède la conscience nécessaire. Elle représente un pourcentage suffisant pour réaliser la bascule.
- A partir du moment où elle prend conscience de son nombre, qu’elle s’interconnecte et s’unit pour faire communauté, elle peut lors tout à fait peser instantanément sur la diplomatie mondiale.
- Elle possède tous les outils technologiques et organisationnels pour.
5
la paix, droit inaliénable, est au coeur du système
- La terre possède les ressources nécessaires et suffisantes pour satisfaire les besoins fondamentaux de l’ensemble des êtres vivants. A chaque problème existe une solution locale à condition que le système global soit sain.
- La gentillesse, l’honnêteté intellectuelle, la gratitude, l’autonomie, la confiance et l’éducation déployées dès le plus jeune âge sont le moyen le plus sûr de faire émerger ce système sain et efficient.
- La paix est un droit. Elle ne pourra pas émerger à l’intérieur des modèles de prédation et de manipulation actuels, Elle ne pourra être une réalité universelle que par la prise de conscience de l’interdépendance de tout et de tous (terre, humains et toutes espèces vivantes) et par son instauration, en tant que droit inaliénable, au cœur du nouveau système.